[Journal de rapports] Pacification de la vermine gobeline. (Terminé)

Le dix-neuvième jour du premier mois.

Enquête sur une présence gobeline au sud des Paluns - Pacification des lieux.

Effectifs de mission :

-Conseiller Melthaes Mornecroc
-Garde-Savoir Lumélior Ombrastre
-Premier Gardien Galadarn Griffivoire
-Gardien Vilaris Lame-dragon
-Gardien Elhendiel Plumacier
-Initié Manoren Tranchenuit
-Inité Thorondor Aile-de-corbeau
-Elvya la kaldorei.

Résumé de la mission :

Débarqué aux Paluns le dix-neuvième jour au soir, l'Enclave a rejoint le Bosquet du Gardien-Vert le plus rapidement possible et ce ; suite aux nouvelles inquiétantes rapportées par le Garde-Savoir Ombrastre.
Sur place une sentinelle - dont le nom m'échappe pour ne pas changer - indiquait que la vermine verdâtre se répandait telle une trainée de poudre au sud de nôtre position. Depuis quelques temps déjà, cette même vermine s'employait à réduire en esclavage les battrodons, tel un vulgaire bétail, afin d'être manipulés et torturés telles des expériences.

Sur les lieux, ces viles créatures demeuraient fidèles à leur poste, pas inquiètes pour un sou. A croire que leur arrogance éclipse suffisamment leur méfiance pour qu'ils puissent se pavaner tels des coqs.
Rapidement et ce une fois le plan élaboré, relativement gâché par mon incompréhension et peut-être mon impatience puisque nos ennemis ne semblaient pour autant pas dépourvu d'ouïe malgré leur idiotie latente, nous avons chargé. Ou plutôt, j'ai chargé. Quoi qu'il en soit et malgré quelques blessures mineures, l'ennemi a rapidement été défait ; tantôt pulvérisé par la glace meurtrière de Lumélior, tantôt par les griffes de Manoren, les serres du Vénérable Mornecroc et de l'inité Aile-de-corbeau ou encore transpercés par les flèches des deux jumelles Elhendiel et Elvyra. Vilaris, de son côté, a su nous maintenir en vie et pour cela, comme toujours, elle a chaleureusement été remerciée.

Les gobelins avaient élu domicile dans une grotte, laquelle abritait un laboratoire de pacotille et de fortune, installé à la va-vite et leur permettant de jouer les savants-fous avec des êtres vivants. Une lettre, marquée par la griffe Gentepression, se trouvait là-bas. Après avoir récupéré ce qui nous semblait intéressant, les infrastructures ont toutes été brûlées. Même leur fichue brouette qui leur servait pour déplacer les battrodons a été réduit en cendres.

Pour ce qui est de la lettre, elle vous a été remise capitaine Pâlelune. Je vous laisserai la joindre à ce rapport.

Je tiens aussi à ajouter que les gobelins n'ont pas pu s'installer dans les Paluns par la seule force de leur cupidité - même s'ils sont sans doute capables de déplacer des montagnes pour un bout d'or poli. Je suspecte que quelques pognes de nains aient pu être graissées, toutefois ça reste une hypothèse.

Premier Gardien Griffivoire.